Quand un choix aux diverses options se présente à elle,
elle le prend, l'a
mais nage.
Pensée, me promenant le long du ruisseau :
Quand un choix aux diverses options se présente à elle,
l'Eau va,
l'Idée fixe :
filer, descendre à son opposé,
retrouver feu 'son' Un, vers cet autre état lui étant propre :
Lasse, Reine des Pompes hier frisonne et sait
Qu'aujourd'hui, haletant, elle se marre du repos voulu qu'elle aime,
et ris tant de l'avoir poursuivi à ce point, au travers des temps
et peut enfin se retrouver :
Eau : qui naît autre,
que toi qui l'a bue et ne l'aboie plus,
Eau mets dix thés sublimes,
Et Terre ris d'un grand éclat :
- Boue, te voilà en paix et les trésors de mes mots aux sons si sots t'attisent et te chauffent..
- Je... mais... Va ! Porc !
Ainsi, Un su que Eau troublée par son son
se vit unique, éprise de zèle : s'évapora,
laissant à son sot Terre,
le soin de l'Ether, mené sans sons.
Puis, elle su ce qui devint évident :
L'eau lis mobile et si il y a son rat lent,
T'y es presque aussi, encore un effort !
Née en paix,
Eau est immobile,
et, si il y a l'envie de 'son' émise :
c'est reparti pour Un qui s'en sent heureux.
Cycle de l'eau à l'âme mobile
Résignée à poursuivre
l'oscillation. Si il y a l'eau, si il y a son
l'autre ment, songe
tandis que l'Eau est, sait, aime et se lit 'mobile'