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Chroniques Psychédéliques

 

 

 

 

version I.2

 

 

 

 

 

 

 

{

Juillet

MMXIX

}

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Venue ici pour ce qui suit,

 

Pour toi qui Lis

Cela s’ouvre

 

Pour toi qui le Dis,

Il te parle

 

Et toi qui écoutes,

L’Écrit lu, l’appel,

 

Qui t’invite les bras ouverts

Dans cette marelle

Qui se veut Éternelle

 

 

 

 

 

Si toute similitude ou/et ressemblances

Avec quoi/qui/où/quand que ce soit il y avait,

Ceci ne serait que le fruit d’une imagination foisonnante,

D’artiste ayant besoin de s’exprimer.

 

Et qui au passage les publie en tant que livre.

Délivrant ainsi ce qui naît hors de lui

Partageant ainsi et rendant accessibles

Des textes et écrits

À des personnes qui m’en firent les demandes.

 

 

 

 

Vous y trouverez diverses inspirations tirées

De débuts d’aventures et autres épopées.

 

Rêves d’enfants et douces mélopées,

Chansons rythmées sur des ondes soutenues,

Recettes miraculeuses et discussions passionnées,

Astuces et bons plans, idées, concepts

Poésies, proses,

Textes enflammés,

Textes qui posent.

 

Certaines pages soulèvent des questions,

D’autres des réponses.
Il y en a pour être lues

À voix hautes et posées

Ainsi que pour les oreilles à l’affût.

 

 

 

 

 

 

 

En voici des extraits.
Choisis, selon un art,

Voyages, parcours, volent les pages.
Rouleaux, Rivages, le fil des plages.

Présents précis, prémices.

Ondulations.

 

 

Présent & ainsi

Est proposé

Ce que j’exprime de la Vie.

 

Délivrant à l’arrivée

Ouvertures d’Artistes

Sur leur Monde

Rêvé

 

 

 

 

 

#1

 

Un soir au clair de lune,

Soleil à peine couché,

Ciel tout à fait clair,

Milliers d'étoiles apparaissant.

 

 

J'ai doucement commencé,

Lentement, se laissant aller,

Sans pouvoir se retenir,

Et surtout sans le vouloir,

Je me suis mis à penser.

 

Ce ciel immense,

Cette multitude d'étoiles,

Les bruits de la nature endormie,

Les bruits de la nature qui s'éveille.

C'est bien la nuit qui porte conseil.

 

 

 

Le regard perdu au loin,

Perdu dans l'immensité du ciel,

C'est là que, tout à coup,

Je m'en suis rendu compte,

Rendu compte Ô combien,

Nous ne valons rien.

 

 

 

 

 

 

Chacun dans son coin,

Tel l'un de ces points,

N'est absolument rien

Et n'y changera rien.

 

 

 

Alors vient l'idée,

De se mettre à deux,

Pour tracer ensemble,

Un bout de chemin.

 

 

 

Mais lorsque soudain,

La parallèle se perd,

C'est là que revient,

Ce songe très ancien,

Lorsque petits,

Ensemble nous regardions,

Ce ciel profond,

Qui nous apprend la vie.

 

 

 

 

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